A Cluses, il fallait forcément s'y attendre un jour ou l'autre... Dans l'un des derniers bastions du FN en France, là où des candidats d'extrême droite parviennent au second tour des élections locales, témoignant de l'insécurité permanente, une basilique datant de moins d'un an à été totalement réduite en cendres cette semaine.
C'est en constatant les réactions virulentes à l'article "des fioles de grippe porcine se brisent dans un train Suisse" (si, si, c'est un véritable article) que les journalistes et scientifiques Sbéquéens ont décidés d'enquêter sur l'origine du virus de la grippe porcine. Ne pouvant plus se fier aux médias, qui se contredisent d'heure en heure à ce sujet, LPPLN (Lèvres Pourpres et Pédoncules Lumineux Nasaux) vous donne enfin des informations fiables à ce sujet.
Des chercheurs Sbéquéens, travaillant pour LPPLN (Libres Paladins Pour la Nation), ont travaillé récemment sur un nouveau mal qui frappe nos enfants. Il s'agit du syndrome de l'insensibilité permanente à l'ironie (IPI ou ipi).
L'ipi se manifeste par une volonté marquée de vouloir prendre au mot toute parole ne devant initialement pas être prise au 1er degré. Certaines expressions deviennent des armes redoutables...
Pour tous les amoureux de la patate, le patator est une invention révolutionnaire. Le patator permet de rendre leur liberté, en quelques seconde, à des pommes de terre qui ont été exploitées, arrachées de leur terre, vendues à des inconnus et failli être mangées.
Depuis la mise au point du patator, ce sont des dizaines de milliers de patates qui ont été sauvées par des écologistes.
J'avais juste envie de pisser sans me poser de questions
Un groupe de Sbéquéens, parti en excursion à la recherche de l'Edelweiss doré dans la montagne du Chevran (surplombant Cluses en Haute-Savoie) a fait une découverte fascinante ce week-end. Les faits nous sont rapportés par Jean-Cédric Dugland, membre de l'expédition :
- "Ben je me suis écarté du sentier pour aller pisser, et c'est là que j'ai trouvé les restes."
Jean-Cédric ne se pose pas de question et coure directement chercher ses camarades, sans se poser de question. Il les informe qu'il a trouvé des restes d'humains près du sentier, là où il voulait aller pisser. Sans se poser de question (putain, ils n'ont vraiment pas de cerveau), il rejoignent l'endroit indiqué par Jean-Cédric, qui ne s'était pas posé de question.
Le groupe ne peut que constater qu'il s'agit bien de restes d'humains. En effet, il semble impossible qu'une autre espèce animale ait pu cuisiner puis entamer un plat de pâtes, et laisser volontairement dans la nature leurs restes et leur couverts, là, tout près du sentier, où Jean-Cédric aurait tant voulu pisser.
Face à une telle situation, Jean-Cédric et ses amis ne se posent pas de question, et décident de finir les restes, bien que froids. Quand aux couverts et autres détritus laissés sur place avec les restes par le précédent groupe d'humains, Jean-Cédric, sans trop se poser de question, décide de les récupérer dans son sac, plutôt que de les laisser ici, polluant cet endroit où il voulait pisser.
- "J'espère seulement que la prochaine fois que je voudrais pisser en forêt, je ne tomberai pas sur d'autres restes d'humains !", déclara Jean-Cédric Dugland, sans se poser de question, au journaliste de LPPLN (Le Plus Poli Lapin Nain) présent pour cette découverte.